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Présentation

En France, l'Infrastructure de Recherche (IR) Ecotrons est coordonnée par l'Institut écologique et environnement du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS).

L'IR des Ecotrons est composée de deux unités de services dont les tutelles sont
le CNRS (75%) et l'Ecole Normale Supérieure (ENS, 25%).

 

L'Ecotron Ile de France est situé à Saint-Pierre-les-Nemours,
au CEntre de Recherche en Ecologie Expérimentale et Prédictive (CEREEP).


Le réseau de plateforme Très Grande Infrastructure de Recherche (TGIR) Ecotrons, financé par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESR), et géré par l'Unité Propre de Service (UPS) 3019 du CNRS, définit un Ecotron comme une infrastructure qui permet                                                 

 

 

 

 

 

 

 


 

D’autres mesures ponctuelles, in situ et ex situ, sur des échantillons prélevés complètent ces mesures en ligne. Un nombre suffisant d’enceintes de confinement, indépendantes, est nécessaire pour assurer l’étude de plusieurs facteurs en interaction, dans un cadre d’inférence statistique.

Travaux réalisés

Le CEREEP regroupe un ensemble de plateaux techniques dédiés à
l’expérimentation écologique et disponibles pour la communauté des
sciences écologiques.

Les plateaux techniques actuellement en cours de
fonctionnement sont la serre, les macrocosmes terrestres (enclos extérieurs de
100 m2), les mésocosmes aquatiques (bassins en extérieur), les macrocosmes
aquatiques (lacs artificiels) et les espaces d'animalerie.
De plus, des espaces naturels (prairies, forêts), dont certains sont protégés
de toute intrusion, permettent la mise en place de programmes
d’expérimentation ou d'observation à long terme en conditions naturelles.

Secteur d'activités

Introduction au projet

Stage d'une durée de 6 semaines, du 17 mai 2016 au 24 juin 2016, le projet présenté s'articule entre système, réseau et développement.

Portant sur le secteur des macrocosmes aquatiques (lacs artificiels), où des expériences statistiques sont réalisées, que ce soit dans l'eau comme dans l'air, à l'aide de capteurs spécifiques appelés SAMBAT, le but est de transférer ces données récoltées sur un serveur afin de venir, par la suite, les mettre à disposition des chercheurs du CNRS et de l'ENS sur un site
qu'il nous faudra développer.

Plan et photo des lacs artificiels

Le plateau macrocosmes aquatiques comprend principalement seize « lacs artificiels ».
Les lacs artificiels prennent la forme de grands bassins rectangulaires d’une longueur individuelle de 30 m, pour une largeur de 15 m (450 m2 de surface) et une profondeur de 3 m, et ont un volume individuel en eau avoisinant 700 m3.

Chaque lac est équipé d'un dispositif automatique de mesure des paramètres physico-chimiques dans la colonne d'eau. Les variables mesurées incluent l'oxygène, la température, le pH, la chlorophylle a totale. Le site est équipé d'une station météo.

simultanément de conditionner l’environnement d’écosystèmes naturels, simplifiés ou complètement artificiels et de mesurer des processus générés par les êtres vivants présents dans ces écosystèmes, notamment les flux de matière et d’énergie.

Son principe est de confiner les écosystèmes dans des enceintes totalement ou partiellement étanches (étanche en matière mais pas en énergie). Le contrôle environnemental et les mesures en temps réel sont suffisamment précis pour permettre de tester des hypothèses ou des modèles de fonctionnement.

Création d'une machine virtuelle

Installation système

Configuration Apache et MySQL

Configuration SSH

Mise en place d'un RAID 5 matériel

© 2016 par Jean-Baptiste Celestin

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